Cet été on ne sera pas partis longtemps, ni vraiment loin. Les emplois du temps d’étudiants surbookés que nous sommes nous en ont empêché. Heureusement quelqu’un a inventé les week ends, alors on a pu partir souvent. Bretagne, Nantes, re-Bretagne, Strasbourg, Ballancourt, New York. On a rencontré des gens. Notamment Serge dans le TGV Paris / Strasbourg, fier de ses magazines de moto, poussant Camille à se lancer dans l’élevage d’autruches dans le Nord Pas de Calais.
Mais je m’égare. Voilà quelques polaroïds d’une lointaine contrée sur le RER D et d’une piscine Strasbourgeoise. Je ressors le 350, je pleure pour mes films qui se déchirent, et je crie au miracle pour ceux qui survivent.
La première est splendide
Et moi je suis dégouté car j’ai acheté 4 films Polaroid. Deux 600 et deux SX-70. L’espoir était bon, les paquets n’étaient pas ouverts, mais la date superbement marquée sur les paquets indiquait 1988. Soit, ça ne m’a pas fait peur, mais malheureusement, en les glissant dans mon Polaroid Supercolor 1000, en retenant ma respiration comme à chaque fois, je n’ai pas entendu les engrenages tourner et faire sortir la feuille de protection du film. Les batteries étaient mortes pour tous les films. Merde.
Sacré Serge ;)